2ème jour au festival Garorock
Il est toujours difficile de dormir en camping de festival. Et pourtant j’avais prévu le coup avec des bouchons d’oreille et un masque pour la nuit! Mais il est difficile de lutter contre les chants plus ou moins mélodieux de nos voisins et les appels à l’apéro. Heureusement, il ne fait pas trop chaud sous la tente, c’est déjà ça. Mais quand je me décide à émerger pour me débarbouiller un peu de la veille et surtout me désaltérer, j’ai la désagréable surprise de découvrir l’état du camping. Après le passage de milliers de festivaliers, la pelouse déjà imbibée d’eau s’est transformée en immense marécage de boue. Un trajet relativement court devient un véritable parcourt du combattant et je préfère sauter la douche et me laver à un robinet.
La journée avançant, nous ne pouvons pas tenir de musique et de boue. On se dirige tranquillement vers la ville de Marmande avec dans l’idée d’aller manger une galette au restaurant. Malheureusement, la pluie nous tombe dessus et la terrasse n’est plus envisageable. On se réfugie tant bien que mal dans un petit bistro à la gérante très compréhensive. Bon en même temps, on leur fait leur chiffre d’affaires, même si on dégueulasse tout avec nos chaussures boueuses.
L’accalmie aidant, on finit par doucement mais surement rejoindre le camping puis le festival.
Les concerts du samedi
On commence par un mini tour sur le site pour N’TO & Joachim Pastor. Inconnus totals pour ma part, le set arrive quand même à me faire dansoter. Puis on va voir un peu les animations autour. On rejoint les stands de William Lawson’s et de Get 27: j’hésite à aller faire un tour dans la soufflerie, mais il y a du monde et je n’ai pas trop envie de passer du temps là-dedans. Un petit soucis de rechargement de bracelet plus tard, on préfère siroter tranquillement une bière et aller voir La Femme.
J’avais beaucoup aimé leur concert à Rock en Seine, mais peu apprécié me faire bousculer dans tous les sens. Cette fois-ci, pas de problème. Je peux danser (dans la boue) et profiter du moment. C’est fou de voir comment en quelques années le groupe a explosé ! On décide d’aller manger tranquillement aux stands puis de revenir pour M.I.A. Et là, c’est le drame. Je ne vais pas me prétendre fan, je ne connais que les plus connues, mais c’est la déception. Le chant et la performance laissent tellement à désirer qu’on préfère se diriger vers le Garoclub et voir JUMO.
J’avoue que cela me coupe un peu les jambes. Je n’ai jamais été une très grande fan de l’électro et Vitalic n’arrive pas à me réveiller. Le son et les jeux de lumières auront eu raison de moi, je vais me coucher! Demain est un autre jour.
Et pour ne rien perdre de mes aventures, tu peux lire les articles sur les deux autres jours : Le jour 1 et la découverte du festival et le 3ème est dernier jour à Garorock. Bonne lecture!
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